Incident réunion ESTS du 11 mars 2024
Publié : 22 mars 2024, 10:21
Le 11/03/2024 à 15h00, lors d’un réunion de service ESTS ICA, j’ai été pris à parti par le directeur à cause de mon mandat d’élu CGT à IMT Mines Albi.
CR de l’incident :
Présents : T. Sentenac , A.Escola , K Viellevigne, D. Adé, A. Lieurey, K Choquet, V. Lucin , Q. Sirvin
Thierry Sentenac fait un Point sur le groupe de travail demandé par la direction d’IMT Mines Albi:
Le directeur de l’ICA a sollicité directement certains EC qu’il a choisi pour participer ainsi qu’un IR, Quentin Sirvin. Rémi Gilblas avait fait acte de volontariat en réunion de Laboratoire (COMPERM) comme moi (lors de la réunion de labo du 29/02/24).
Le directeur profite de la réunion pour lancer l’appel à volontaires pour les techniciens :
Lorsque c’est mon tour, je me déclare volontaire. Je suis pris à partie par T Sentenac qui après des bégaiements et interjections finit par énoncer sa « crainte » : si je participe à ce groupe de travail, c’est en qualité de technicien d’ICA et non de représentant syndical. Menace devant tout le monde et je dois me justifier sur le fait d’être volontaire que je porterai la parole des autres techniciens et non la parole de la CGT.
Je me défends en expliquant c’est toujours ce que j’ai fait depuis 3 ans et qu’on a toujours fait cela collectivement. Faits corroborés par les personnes présentes à la réunion.
Tout le monde présent est choqué de la manière agressive de faire.
Je me suis senti acculé, l’insistance dure plusieurs minutes malgré mes réponses, il s’agit clairement d’une tentative d’intimidation directement envers moi, mais aussi indirectement envers les autres personnes présentes dans la réunion.
A la fin de la réunion, il exige devant tout le monde que je reste seul avec lui pour me parler « 5min », puis demande aux autres de sortir .
Je suis obligé de me justifier pendant plus de 45 min sur la situation. Au cours de cette discussion sont abordés :
- mon double jeu syndical/membre d’ICAA,
- relations humaines amicales du passé qui sont rompues par la situation actuelle,
- ma responsabilité dans le blocage de la résolution des problèmes ICAA suite à la suppression des IE,
Le ton était tendu, dominateur, et venant de mon directeur de centre, je me suis trouvé dans l’obligation de me justifier pendant 45 minutes.
Puis je mets fin à la discussion, devant quitter la pièce pour un rdv perso le soir.
La violence de cette situation publique (la première intervention a eu lieu durant la réunion, devant mes collègues médusés), des accusations, la manipulation qui sous-tend l’ensemble, me rend particulièrement fragile.
Je m’interroge sur de telles assertions et leur compatibilité avec le droit syndical constitutionnel. C’est d’autant plus étrange que mon dernier engagement syndical correspond à l’absence de résolution de situations complexes au sein de l’ICA.
Autant d’éléments qui me font douter de la volonté de la direction du laboratoire de développer un dialogue serein et constructif.
CR de l’incident :
Présents : T. Sentenac , A.Escola , K Viellevigne, D. Adé, A. Lieurey, K Choquet, V. Lucin , Q. Sirvin
Thierry Sentenac fait un Point sur le groupe de travail demandé par la direction d’IMT Mines Albi:
Le directeur de l’ICA a sollicité directement certains EC qu’il a choisi pour participer ainsi qu’un IR, Quentin Sirvin. Rémi Gilblas avait fait acte de volontariat en réunion de Laboratoire (COMPERM) comme moi (lors de la réunion de labo du 29/02/24).
Le directeur profite de la réunion pour lancer l’appel à volontaires pour les techniciens :
Lorsque c’est mon tour, je me déclare volontaire. Je suis pris à partie par T Sentenac qui après des bégaiements et interjections finit par énoncer sa « crainte » : si je participe à ce groupe de travail, c’est en qualité de technicien d’ICA et non de représentant syndical. Menace devant tout le monde et je dois me justifier sur le fait d’être volontaire que je porterai la parole des autres techniciens et non la parole de la CGT.
Je me défends en expliquant c’est toujours ce que j’ai fait depuis 3 ans et qu’on a toujours fait cela collectivement. Faits corroborés par les personnes présentes à la réunion.
Tout le monde présent est choqué de la manière agressive de faire.
Je me suis senti acculé, l’insistance dure plusieurs minutes malgré mes réponses, il s’agit clairement d’une tentative d’intimidation directement envers moi, mais aussi indirectement envers les autres personnes présentes dans la réunion.
A la fin de la réunion, il exige devant tout le monde que je reste seul avec lui pour me parler « 5min », puis demande aux autres de sortir .
Je suis obligé de me justifier pendant plus de 45 min sur la situation. Au cours de cette discussion sont abordés :
- mon double jeu syndical/membre d’ICAA,
- relations humaines amicales du passé qui sont rompues par la situation actuelle,
- ma responsabilité dans le blocage de la résolution des problèmes ICAA suite à la suppression des IE,
Le ton était tendu, dominateur, et venant de mon directeur de centre, je me suis trouvé dans l’obligation de me justifier pendant 45 minutes.
Puis je mets fin à la discussion, devant quitter la pièce pour un rdv perso le soir.
La violence de cette situation publique (la première intervention a eu lieu durant la réunion, devant mes collègues médusés), des accusations, la manipulation qui sous-tend l’ensemble, me rend particulièrement fragile.
Je m’interroge sur de telles assertions et leur compatibilité avec le droit syndical constitutionnel. C’est d’autant plus étrange que mon dernier engagement syndical correspond à l’absence de résolution de situations complexes au sein de l’ICA.
Autant d’éléments qui me font douter de la volonté de la direction du laboratoire de développer un dialogue serein et constructif.